Ourman
Pro
не зна про потомка ли маршала...
Вот у этого всякие полезности, зовут Joel Choqueux
https://www.facebook.com/joel.choqueux
иногда он про жисть пишет про свою, к примеру как шляпу потерял и нашел, но чаще про всякие экзерсисы с цитатами классиков. Вроде адекватный дядька в плане общения.
Вот бошерист, Guy Boivin, он такой... прямолинейный и не очень гибкий в обсуждениях...
https://www.facebook.com/guy.boivin.33
Резюме Карда по Ахену:
(переводится ммм читабельно по www.translate.ru)
Le colonel Christian Carde se désespère. Ecuyer du Cadre Noir, entraîneur national de dressage, juge, il porte un regard désolé sur le dernier CDIO d'Aix-la-Chapelle et sur l'évolution du dressage. "Au plus haut niveau, les cavaliers s'évertuent à tirer et à pousser. On est loin des canons de l'équitation juste, celle qui figure pourtant dans le réglement de la FEI. La quête de légèreté avec des chevaux harmonieux a laissé place à une multiplication de chevaux mécanisés, tenus fortement et très sollicités dans les aides".
A Aix-la-Chapelle, les juges ont été sifflés par un public choqué par les notes attribuées à des arrêts sur les épaules, des piaffers sur les épaules, des allongements du trot avec des chevaux qui étendent les antérieurs mécaniquement... Et Christian Carde de dénoncer "les attitudes peu harmonieuses des chevaux mécanisés, exagérément ramenés et tenus sur des rênes fortement tendues, les bouches douloureusement fermées par des muserolles bloquées".
Et que dire de l'incroyable différence de notes entre les juges? "Le grand Totilas a été noté troisième par un juge, vingtième par un autre! Ce cheval extraordinaire était devenue une vedette usée qu'on aurait dû arrêter de monter".
La FEI a beau augmenter le nombre de juges, ils continuent de noter la mauvaise équitation! "Le dressage de haut niveau est devenu un business avec beaucoup d'argent en jeu. J'ai arrêté de juger à Moscou en 2000. J'avais jugé dernière une cavalière qui a été noté première par les autres juges. Elle était membre de l'équipe russe et son mari avait un poste très important. Les juges sont payés par les organisateurs. Si vous ne mettez pas les notes qu'ils attendent, ils vous oublient ensuite".
Quant au Rollkür (hyperflexion de l'encolure très contraignante pour le cheval), il continue d'être pratiqué par plusieurs cavaliers de la Ranking list. "C'est d'autant plus scandaleux qu'il y a des stewarts chargés de surveiller les paddocks. Les suisses sont courageux. Ils considèrent cette pratique comme de la maltraitance et donc, un délit punissable". Les pétitions contre cette pratique se multiplient sur les réseaux sociaux mais la FEI ne prend que des demies mesures.
Chritian Carde évoque également les chevaux qui saignent de la bouche, ceux qui rétivent... et même cette cavalière qui s'est emballé devant des milliers de spectateurs stupéfaits. "Elle a dû emprunter un autre cheval pour la remise des prix dans une épreuve dite de ... dressage!"
L'écuyer propose de revoir en profondeur la question du jugement pour remettre le dressage sur de bons rails. "On pourrait juger de façon plus scientifique, moins subjective en s'appuyant sur le règlement et sur les possibilités du traitement des images par informatique".
Вот у этого всякие полезности, зовут Joel Choqueux
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иногда он про жисть пишет про свою, к примеру как шляпу потерял и нашел, но чаще про всякие экзерсисы с цитатами классиков. Вроде адекватный дядька в плане общения.
Вот бошерист, Guy Boivin, он такой... прямолинейный и не очень гибкий в обсуждениях...
https://www.facebook.com/guy.boivin.33
Резюме Карда по Ахену:
(переводится ммм читабельно по www.translate.ru)
Le colonel Christian Carde se désespère. Ecuyer du Cadre Noir, entraîneur national de dressage, juge, il porte un regard désolé sur le dernier CDIO d'Aix-la-Chapelle et sur l'évolution du dressage. "Au plus haut niveau, les cavaliers s'évertuent à tirer et à pousser. On est loin des canons de l'équitation juste, celle qui figure pourtant dans le réglement de la FEI. La quête de légèreté avec des chevaux harmonieux a laissé place à une multiplication de chevaux mécanisés, tenus fortement et très sollicités dans les aides".
A Aix-la-Chapelle, les juges ont été sifflés par un public choqué par les notes attribuées à des arrêts sur les épaules, des piaffers sur les épaules, des allongements du trot avec des chevaux qui étendent les antérieurs mécaniquement... Et Christian Carde de dénoncer "les attitudes peu harmonieuses des chevaux mécanisés, exagérément ramenés et tenus sur des rênes fortement tendues, les bouches douloureusement fermées par des muserolles bloquées".
Et que dire de l'incroyable différence de notes entre les juges? "Le grand Totilas a été noté troisième par un juge, vingtième par un autre! Ce cheval extraordinaire était devenue une vedette usée qu'on aurait dû arrêter de monter".
La FEI a beau augmenter le nombre de juges, ils continuent de noter la mauvaise équitation! "Le dressage de haut niveau est devenu un business avec beaucoup d'argent en jeu. J'ai arrêté de juger à Moscou en 2000. J'avais jugé dernière une cavalière qui a été noté première par les autres juges. Elle était membre de l'équipe russe et son mari avait un poste très important. Les juges sont payés par les organisateurs. Si vous ne mettez pas les notes qu'ils attendent, ils vous oublient ensuite".
Quant au Rollkür (hyperflexion de l'encolure très contraignante pour le cheval), il continue d'être pratiqué par plusieurs cavaliers de la Ranking list. "C'est d'autant plus scandaleux qu'il y a des stewarts chargés de surveiller les paddocks. Les suisses sont courageux. Ils considèrent cette pratique comme de la maltraitance et donc, un délit punissable". Les pétitions contre cette pratique se multiplient sur les réseaux sociaux mais la FEI ne prend que des demies mesures.
Chritian Carde évoque également les chevaux qui saignent de la bouche, ceux qui rétivent... et même cette cavalière qui s'est emballé devant des milliers de spectateurs stupéfaits. "Elle a dû emprunter un autre cheval pour la remise des prix dans une épreuve dite de ... dressage!"
L'écuyer propose de revoir en profondeur la question du jugement pour remettre le dressage sur de bons rails. "On pourrait juger de façon plus scientifique, moins subjective en s'appuyant sur le règlement et sur les possibilités du traitement des images par informatique".